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 Lingerie fine (Joan Wayne)

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MessageSujet: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyMar 30 Déc - 19:43

Le téléphone sonna, Jack Leahy l’attrapa en baillant :

« Oui ? »

« Jack, c’est Dan Whilite »

Le patron de la brigade criminelle.

« Qu’est-ce qu’il y a capitaine ? »

« Il y a que c’est l’enfer cette nuit. Connais-tu la famille Wayne ? »

« Je sais qui ils sont et ce qu’ils représentent pour le service. »

A voix basse :

« Il y a eut un crime devant leur baraque. Je n’ai personne à envoyer là-bas alors je t’ai appelé. »

Jack alluma la lumière et sortit mollement de son lit, il regarda son réveil. Et merde, 1h du matin.

« Dis-moi tout. »

« On a un cadavre et en plus les agents m’ont dit que la baraque des Wayne avait été cambriolé. »

« Adresse ? »

« 1684 Tremaine Sud. Ecoute, les filles Wayne étaient absentes quand ça s’est produit, je crois que la mère était à une soirée loto ou un truc du genre. La mère est rentrée la première, elle a retrouvé la maison cambriolée et a appelé le poste aussitôt. Lorsque Joan, la seule môme Wayne qui n’est pas en prison est rentrée, elle l’a trouvé pleine d’inspecteurs, lesquels n’étaient pas très accommodant à cause du passé de la famille. Apparemment on a un meurtre de fêlée et le cambriolage de leur maison est du même genre. J’ai reçu un appel de mes hommes, ils en peuvent plus de la fille, ils… »

« Ok j’irais, te fatigue pas. »

……………………………

La famille Wayne, des emmerdeurs. Eux et la police de New Lagon, une relation de 20 ans de haines. Les Wayne géraient un club de seconde zone. Leahy gara sa voiture et observa l’adresse. Un bloc délabré, d’autres bagnoles étaient garées devant la crèche : la Ford de l’inspecteur Stemmons et une rôdeuse de police. Des faisceaux de torches partout, des bruits de voix. Leahy s’approcha, Stemmons beugla :

« C’est le sergent ! »

Les torches vers le sol, ça pue le sang. Deux types en uniformes s’approchèrent.

« Jack, voici l’agent Nash et l’agent Miller. »

Poignées de main.

« Messieurs, j’aimerais vraiment retourner dormir, alors dîtes moi tout. »

L’odeur du sang à côté, lourde et entêtante.

« Sergent, je refuse d’entrer à nouveau dans cette maison ! La fille Wayne là, c’est une chieuse de la pire espèce ! »

Jack attrapa une torche et suivit l’odeur dans le jardin. Il aperçu le corps d’une femme étendue dans l’herbe. Plus d’yeux, gorge tranchée, la mâchoire serrée autour d’un chiffon imprégné de produit chimique. Femme étripée, entailles et sang partout. Une rigole de gouttelettes direction la porte arrière de la maison qui avait été forcée. Des cris à l’intérieur de la maison, un des flics et la mère Wayne. Stemmons :

« J’ai fait partir tous les mecs de la brigade qui étaient sur place afin de calmer les deux furies dans la maison. »

« Dis-moi tout, j’ai vraiment pas envie d’aller interroger ces deux chieuses de Wayne. »

« Bon ils étaient de sortit pour la soirée. Y’a ce psychopathe sortit d’on ne sait où qui a tué une femme ici sur leur pelouse. Puis il est rentré dans la maison par effraction pour nettoyer le sang sur lui on suppose. Et là il a pété les plombs et a foutus le bordel dans la propriété. La mère a trouvé le cadavre dans le jardin et la maison dans cet état en rentrant. Elle nous a appelés. Lorsque la fille est rentrée à son tour et a vu tous les flics dans son salon, ça a été le carnage. »

« Tu leur as parlé ? »

« La mère m’a montré les dégâts, la fille non, elle me fait peur ! En tout cas les dégâts sont spéciaux, j’ai jamais vu une effraction comme celle-ci. »

« Qu’est-ce qui te semblait bizarre ? »

« Nash et Miller ont tout marqué à l’intérieur, tu verras. »

Coup de torche dans la cour, Leahy examina la porte arrière : marque d’effraction sur le chambranle. Il entra et observa les dégâts dans le cellier-véranda-laverie. Voilà des serviettes ensanglantés, disons que c’est ici que le tueur s’est nettoyé après son crime. Porte de cuisine intacte. Plus de traces de sang, les pièces à convictions dans l’évier marquées d’une étiquette : bouteilles de whisky brisées, tiroirs de meubles fracturés. La voix de maman Wayne hurla :

« Ne touchez pas à ce tableau ! Il était à mon père ! »

Jack passa dans la salle à manger, morceaux de clichés : photographies de famille. Voilà un portait encadrée de la petite Joan Wayne. Mon dieu protégez nous, la garce affichait un sourire carnassier style : je-me-rends-à-l’enterrement-de-ma-pire-ennemie. Jack fit le tour du proprio. Moquette épaisse, canapés en velours, papier peint cloqués sur les murs. Un climatiseur avec une photo du dragon Smaug perché au sommet. Jack se pencha pour observer. Mais c’est quoi cette mochetée ? Un tapis étiqueté « CD et DVD brisés » plusieurs pochettes d’album, l’intégrale de Game Of Thrones edition de luxe collector de la mort qui tue. Jack envoya un SMS à Stemmons : rejoint moi ici. Il reçu la réponse aussitôt : pas question, je ne fous pas un pied dans cette bicoque tant que Joan Wayne est encore à l’intérieur ! La voix de maman Wayne gronda :

« SORTEZ DE MA MAISON ! »

Jack entra dans le hall, voilà maman Wayne, le flic en uniforme sur qui elle gueulait vint se réfugier derrière Leahy.

« Je suis le sergent Leahy de la police de New Lagon, c’est moi qui suis en charge de… »

« Je n’aurais jamais du appeler la police ! Vous avez passé toute la soirée à fouiller ma maison et à la transformer en foutoir ! »

« Ecoutez, on va passer la maison à la poudre pour y trouver des empreintes, je… »

« C’est moi qui nettoie chez moi ! »

« Je… »

« Regardez ce que ce tueur psychopathe a fait aux vêtements de ma fille !  Vous avez intérêts à coffrer ce malade ! Regardez ! Regardez ! Regardez ! »

Maman Wayne attrapa Jack par la main et le traina de force jusqu’à un placard de buanderie.

« Regardez ! Regardez ! Regardez ! »

Elle le poussa contre le panier à linge. Là, pleins de soutiens-gorges et de petites culottes. Ceux de Joan Wayne évidemment, c’était pas ce genre de lingerie que la mère devait porter…

« Regardez ! Regardez ! Regardez ! »

Elle colla dans les bras de Jack une pile de soutifs et de petites culottes déchirées et abimées, mais beaucoup étaient encore intact.

« Ce dégénéré pervers s’est acharné sur les vêtements de ma fille ! Prenez tout ! Voilà vos preuves ! »

Elle poussa Jack dans le couloir, il se trimballait son paquetage de dessous féminins à bout de bras avec un visage hagard, l’air de dire : mais pourquoi on m’a collé cette enquête foireuse ? Maman Wayne lui colla une petite culotte dans la tronche.

« Je suis sûr que ce fou furieux s’est aussi masturbé dans les vêtements de ma fille ! Reniflez pour voir ! »

Jack aperçu Joan Wayne dans le couloir de la maison. La mère outrée lui colla une gifle dans la figure.

« Ne matez pas ma fille espèce de pervers ! »

« Mais je… »

« Dehors maintenant ! C’est moi qui nettoie chez moi ! »

Elle le poussa, Jack avait l’air toujours aussi interloqué, à se demander sur quelle planète il venait de débarquer. Maman Wayne referma la porte derrière lui en la claquant. Jack resta un instant interdit sur le pallier à observer le cadavre que le coroner venait de mettre dans une house mortuaire. Un flic demanda :

« Sergent ? Je peux vous demander pourquoi vous vous trimballez avec toute cette collection de soutifs dans vos bras ? »
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MessageSujet: Re: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyMar 30 Déc - 23:08

Lingerie Fine × ft. Jack
« Joan, t’as mère vient d’appeler les flics, y’aurai un macchabé dans votre jardin.
-QUOI ?! Qu’est ce qu’elle est appelé les flics encore ! Ok Dylan tu fermes prends les rênes pour ce soir. T’as intérêt à que tout file sur des roulettes ! »

Sans lui laisser le temps de répondre, Joan attrapa sa veste en cuir noir et son arme. Elle marcha d’un pas vif et sans appel. Sa mère allait passé un sale quart d’heure. Elle lui avait dit plus de quarante fois de ne jamais appeler la police. Devait-elle encore lui rappeler que c’était les poulets qui avaient arrêtés ses quatre fils et qui avait logé une balle dans la tête de son époux. Quelle inconsciente ! Elle voulait voir sa fille se faire jeter en prison également.

Arrivant chez elle, Joan découvrit déjà plein de voiture de flic posté devant chez elle. Elle voulut passer mais un premier flic l’arrêta. La criminelle posa son regard bleu et glacial sur l’homme en uniforme. Un regard qui le fit pâlir et qui finit par la laisser passer. Elle passa par derrière où des hommes étaient en train de marquer des preuves. La jeune femme fronça des sourcils. Pourquoi des traces de sang ? Le cœur de brune rata un battement. Elle entra en trombe dans le séjour qui était sans dessus dessous mais trouva aussi sa mère entra de hurler sur des flics.
Son téléphone sonna et pour entendre quelque chose, elle monta à l’étage. Un flic décida de la suivre.
« Quoi ? J’ai pas le temps, t’as intérêt à que ce soit important Michael.
-Ouais, Dylan m’a dit que ta mère avait appelé les flics. Je me suis dit que t’aurai besoin de moi.
-Non c’est bourré de flic. Par contre tu sais pirater mon système informatique. Tu sais quoi faire !
-Pas de soucis. »

Elle raccrocha et le flic ouvrit la bouche.
« Selon la loi, le piratage info…
-Bouclez là avec vos lois. Je les connais sur le bout des ongles et je m’amuse à les enfreindre. Et à vous voir tenter de m’arrêter sans aucune preuve. Alors maintenant vous sortez de chez moi illico presto sinon je hurle qu’un flic m’a tiré dessus. Et je peux vous assurer que tout le monde croira à mon histoire. ALORS DU BALAI ! »


Le flic déguerpit à la queue entre les jambes. Et la douce voix de sa mère revint à ses oreilles. Joan redescendit de le salon.
« OH TU LA FERMES M’MAN !! On peut même ne pas passer un coup de file. Assume ta connerie et me fait pas chier !
-Vous avez téléphoné lors d’une enqu…
-Je vous en pose des questions Mr l’agent ? Bouclez là ! Et déguerpissez, je m’occupe de ce bordel !
-C’est une scène de crime…Vous…
-Ais-je l’air de discuter. Déguerpissez moi le planché !
-Je peux vous arrêter pour obstruction à la justice.
-Oh et moi je peux porter plainte pour violation de propriété privé !
-Joan, ma cherie… »

La brune tourna les talons levant les mains au ciel. Elle s’accouda contre un mur du couloir et son regard glacial fixait chaque policier pénétrant chez elle. Beaucoup repartait alors que  quelque courageux tentait de résonner la matriarche.

Un sergent pénétra et Joan leva les yeux au ciel. Elles allaient en avoir pour la nuit. Sa mère repartit en beuglant de plus belle. Un sourire en coin se dessina sur les lèvres de la jeune femme. Voyons voir comment celui gérer une maman Wayne complètement déchainé. Mais quand celle-ci lui fourra ses sous-vêtements dans les bras avant de le foutre à la porte, la brune sortit.
« Nan mais ça va pas ! Et mon intimité ! Tu y penses ? Je te jure que la prochaine fois que tu fais ça, je te fous en maison de retraite vieille pie ! »

Joan sortit dehors.
« HE ! Livy…euh Leavhy…enfin bref ! Rendez-moi ça !”

Joan lui arracha les sous-vêtements des mains sans ménagement.
« Et râlez pas avec vos manières de flic !  Vous vous êtes suffisamment rincez l’œil ! »

Elle tourna les talons et s’arrêta devant le corps complètement massacré.
« Non mais qu’elle boucherie ! Ce salopard ne pouvait pas faire ça proprement ! Je vais lui apprendre à tuer n’importe comment ! »

Et elle ne parla pas des odeurs nauséabondes.
« Virez moi cela ! Faites votre boulot pour une fois sergent ! Et arrêtez de mater mes fesses, sinon je vous lâche ma mère une deuxième fois ! »

   
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MessageSujet: Re: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyMer 31 Déc - 14:48

Le sergent Leahy avait à peine eut le temps de faire quelques pas avec son bardas de lingerie fine que la fille Wayne accourut vers lui pour lui arracher de forces ses sous-vêtements. Quelques unes des pièces de tissus tombèrent dans la pelouse au passage. Les agents Nash et Miller qui étaient sur le trottoir observèrent la scène médusée. La Wayne qui s’attaque à Leahy. Il allait y avoir du sport ! Elle lui reprocha de s’être rincé l’œil, l’humeur de Leahy passa de rouge à noir. Elle tourna en dérision le tueur, la miss en avait rien à faire du cadavre. L’humeur de Jack passa à noir tout noir. Elle menaça de lâcher sa mère sur lui. L’humeur de Leahy = noir dépassé. Les deux flics qui les observèrent retinrent leur souffle. Le Jack allait-il gifler la chieuse ou lui sortir un atémi dans sa tronche ? Même pas. Jack afficha juste le grand sourire craquant de l’avaleur de couleuvres et fier de l’être. Les deux flics furent déçus. Leur sergent avait du sang de navet, rien dans les veines, même pas foutus de remettre à sa place la dernière des gosses Wayne encore en liberté. Leahy se décida quand même à balancer une réplique rien que pour l’emmerder. Il lança tout sourire à Joan :

« Mademoiselle Wayne, je suis content que vous m’ayez demandé de ne pas mater votre arrière-train. Parce que si vous m’aviez demandé de le faire en papillonnant des prunelles, j’aurais été bien obligé de vous dire d’aller vous faire foutre. »

Jack grimpa dans sa voiture et démarra en trombe, il laissa de la gomme sur le bitume. Lorsque tous les flics furent partis et que la maison retrouva enfin son calme, sa voiture revint discrètement. Jack sortit et s’appuya contre son véhicule les bras croisés. A se demander s’il avait oublié un détail. De son propre avis, on ne risquait pas de trouver le taré qui avait balancé un cadavre dans le jardin des Wayne. Jack observa de droite à gauche s’il n’y avait plus personne dans la rue. Il se faufila sur la pelouse comme un voleur, il ramassa une des petites culottes de Joan Wayne qui était tombé sur le gazon et la fourra dans sa poche. Il décampa en vitesse.

…………………………

3h du mat, impossible de trouver le sommeil. Des vertiges encore plein la tête. Coup de fil au commissariat. Pas de Dan Wilhite, le chef de la brigade était en pleine réunion sur la menace des porteurs sur la ville. Jack laissa un message. Mauvais le sommeil, donnant très fort sur pas de sommeil du tout. CES NOMS DE DIEUX DE WAYNE lui avaient pourris sa soirée et même sa nuit. Joan, la reine du soutif. Il aurait du en chopper un pour l’ajouter avec la petite culotte souvenir.

5h du mat. Et puis merde, mort au sommeil, douche et coup de rasage. Fouille dans la veste, voilà la petite culotte de Joan. Tentons pour voir. Jack sniffa la culotte. Peut-être une senteur de sexe, peut-être son odeur à ELLE. Une vrai rigolade, à s’en taper sur les cuisses. Mais il voulait garder que pour lui la lingerie hot de Joan quand même…

…………………………

Centre ville, Justice Tower. Dan Wilhite derrière son bureau. Jack Leahy se tira une chaise.

« Disons les choses comme elles sont, une nuit pourrie. »

Dan, sec et froid :

« C’est du sérieux Jack, on tient une occasion de se faire la dernière gosse des Wayne. »

« C’est si important que ça ? »

« Et comment ! »

L’officier lui tendit un dossier sur la famille Wayne. Jack le lu et sentit ses genoux flancher à l’idée que la gamine Wayne avait grandit avec cette bande d’abrutis pour frères :

Thomas Wayne : deux condamnations pour possession de narcotiques. Avait obtenu par correspondance un diplôme d’art plastique depuis sa cellule de prison (WHAT THE FUCK ?). Une condamnation pour vol à mains armée. Suspect dans le meurtre non élucidé d’un flic.

Leander Wayne : Spécialiste de l’escroquerie. A vendue de faux abonnements à des magazines pornos, des terrains qui n’existent pas, des maisons qui n’étaient pas à lui, à loué des voitures volées et a fait signer des contrats avec des entreprises fantômes. Grand faussaire : copie et faux de chèques de l’aide sociale, de mandats postaux, de billets pour des matchs de basket et même de faux autographes de Brad Pitt.

Cantrell Wayne : Condamné pour vol à main armée. Soupçonné d’avoir dérobé plus de 56 taxis en ville pour en revendre les pièces détachées en contrebande, a reçu plus de 8 plaintes pour abandon du domicile conjugale et doit payer 5 pensions alimentaires.

James Wayne : multiples arrestations pour conduite en état d’ivresse, ivresse sur la voie publique, exhibitionnisme dans les lieux publics, tapage nocturne, vagabondage, usurpation d’identité (se faisant passer pour un prêtre, un psychiatre et un pompier) et diverses infractions concernant des vols d’objets sacrés dans une église.


Jack leva la tête du document en s’esclaffant :

« J’avoue. Une vraie famille modèle. Et la petite dernière n’a jamais été condamnée ? »

« NON ! Les 4 frangins sont derrière les barreaux mais pas elle ! On la soupçonne d’être la pire. Il faut qu’on la coffre, alors tu va nous faire une enquête complète et détaillée sur cette femme qui a été assassiné sur leur pelouse, tu va secouez les employés des Wayne dans leur boîte de nuit, tu va secouez Joan Wayne, tu va la faire passer sur le grill, tu commences aujourd’hui et que la force parle. Il faut que tu arrives à la faire coffrer pour ce meurtre. Faut tout faire pour qu’elle soit accusée et reconnue coupable de ce crime. »

« Sérieusement, tu peux pas confier l’enquête à quelqu’un d’autres ? J’ai pas envie de me taper la fille Wayne, surtout si je dois la secouer. Je… »

Le chef debout derrière son bureau qui en impose :

« Fais le, détache les agents des patrouilles de Wilshire pour le quadrillage. Et fais venir le labo. Que la force parle ! On va se faire Joan Wayne ! On va lui organiser un rancard bien brûlant avec la chaise électrique du couloir de la mort de Folsom ! »

..............................

9h du mat, retour à la baraque des Wayne.

QUE LA FORCE PARLE !

Jack Leahy bailla en observant tout ce cirque : une équipe du labo en train de boire un café dans des gobelets en plastique devant la maison. Une équipe chargé de prendre les empreintes qui venait de sortir de la baraque en courant, Maman Wayne leur hurlait après. Jack avait déployé 4 agents pour faire du porte à porte dans le quartier : identification de témoins qui auraient pu voir le tueur débarquer le cadavre de la femme sur la pelouse Wayne. Inspection des poubelles pour voir si le tueur n’avait pas balancé un truc. 2 flics de la circulation amenés en urgence pour virer les journalistes et les paparazzis.

QUE LA FORCE PARLE !

Surtout, rester à distance de Joan Wayne pour le moment. Elle pourrait s’être rendue compte que Jack lui avait piqué un de ses dessous intimes et exiger qu’il la lui rende.

QUE LA FORCE PARLE !

Le capitaine Dan Wilhite et les Wayne qui le démangent, il en voulait encore à Cantrell Wayne de lui avoir foutus du laxatif dans son verre en pleine audience du tribunal. Jack se disait qu’il ferait mieux de torcher le boulot à la va-vite et de fabriquer une fausse preuve pour incriminer Joan Wayne.

9h15 : le spectacle commence. De nouvelles rôdeuses de la police qui patrouillent dans le voisinage : avez-vous vu un tueur qui rodait cette nuit ? Un abruti qui fout un tag sur la camionnette du labo avant de s’enfuir en courant. Des badauds en veux-tu en voilà qui montre la maison Wayne du doigt. Des gosses prenaient la maison en photo avec leur portable. Voilà Maman Wayne qui apparait sur la véranda, Jack sentit un frisson. Il avait cru que ça serait Joan qui sortirait. Jack fonça vers maman avec son calepin sortit, près à lui poser des questions. Des badauds qui observaient le cirque applaudirent Jack. Ce n’était pas tous les jours qu’on voyait un flic avoir le courage de foncer vers Maman Wayne. Elle le vit arriver, elle lança :

« Ah non ! Pas vous ! J’ai déjà donné moi ! »

Elle leva la tête vers la fenêtre de la chambre du haut et cria :

« Joan ! Viens ici ! C’est pour toi ! »

Jack se prit une petite suée, modèle poids lourds. Il serra la petite culotte de Joan dans sa poche. Maman Wayne rentra dans la maison en laissant la porte d’entrée grande ouverte. Jack songea à se barrer. Des passants autours de la baraque qui observaient tout ce cirque sifflèrent et lui crièrent des encouragements :

« Va-y le flic ! Tu peux le faire ! On est avec toi ! 10 dollars sur la fille Wayne ! 15 dollars sur le flic ! Tenus ! »

Et merde…
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MessageSujet: Re: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyMer 31 Déc - 15:48

Lingerie Fine × ft. Jack
La réponse du sergent fit lever un sourcil à la jeune femme. Ce flic était différent des autres. Ils auraient tous perdus leur sang-froid mais celui-là non. Calme avec un magnifique sourire. Elle le suivit du regard pendant qu’il foutait le camp tout au passage lui rendre la monnaie. Elle le déshabilla du regard. Elle devait bien avouer, qu’il était plutôt beau garçon. Les autres n’étaient que des croutons bons à jeter. Une fois qu’il fut partit dans un crissement de pneu désagréable, Joan lâcha :
« Le jour où je ferais ça…C’est que je voudrais vous voir dans mon lit sergent… »

Elle tourna les talons et rentra dans la maison où sa mère avait attaqué le ménage tout en baragouinant. La brune monta à l’étage et rangea ses sous-vêtements en refaisant les paires. Mais un de ses soutiens gorge n’avait pas sa paire. Une culotte manquait à l’appel. Poussant un soupire de désespoir, la jeune femme ne retourna pas dehors pour autant, se disant qu’elle irait fouiller le jardin plus tard à la recherche de la fugueuse. Tombant allonger sur lit, la belle s’endormit rapidement se demandant qui avait bien pu balancer un cadavre dans son jardin.

**********
Bipbipbip.
Joan grogna et chercha à tâtons son téléphone. Qui pouvait bien l’appeler à sept heures du matin ? La jeune femme décrocha.
« Quoi !
-Désolé de te réveiller mais j’ai un visage pour le mec qui a balancé un macchabé dans ton jardin. »

Soudainement la brune se redressa, parfaitement réveillé.
« Je t’écoute Michael.
-Le meurtre a pas été commis chez toi. Le mec a déposé le corps sur ta pelouse et à massacrer sa victime là.
-Ouais je m’en fous, t’as un visage ? un nom ?
-Yep chef !
-Parle non d’un chien, je supporte pas les devinettes.
-Qui veut ta peau depuis que James est en prison ?
-Salim…Ce salopard est rentré chez moi…Ok, tu me le localises par tous les moyens que tu peux. Les flics vont surement revenir me faire chier. Et tu me le surveilles jusqu’à ce que j’ai un moment de libre pour aller lui rendre une petite visite.
-C’est comme si c’était fait ! »

Elle allait enfin pouvoir buter l’homme qui n’arrêtait pas de lui mettre des bâtons dans les pattes et lui enlever des coups d’avance dans son jeu. Le piège se refermait sur lui. Joan fila prendre une douche froide et s’habilla avec un jean moulant et un débardeur noir. Elle descendit dans le salon qui avait retrouvé une tête de salon. La brune sortit sur la pelouse à la recherche de sa fugueuse mais rien. Le flic. Il lui avait piqué une culotte. Sale pervers, voyeur. Elle rentra avec une humeur massacrante. Sa mère lui servit un café bien serré.
« Qu’est ce qui te mets de si mauvaise humeur mon p’tit cœur.
- Appelle-moi encore comme ça et mon humeur sera encore plus massacrante ! »

Elle retourna dans sa chambre pour attraper son arme et son téléphone. Tout en buvant son café, Joan prit les documents qui concernaient son adversaire du moment. Salim Jones. Elle relut tout. Combien de temps. Aucune idée mais ce fut sa mère qui la sortit de sa paperasse. Poussant un long soupire, la brune se leva et descendit les escaliers avec légèreté.
« Quoi encore ?
-Le flic d’hier, Leahy, il a un calepin et…
-Ça va, j’ai pigé ! »

Sortant sur le perron, elle regarda la foule agglutinée devant chez elle. Les paris étaient lancés. Mais l’humeur massacrante de la belle n’était de leur côté. Elle lança bien fort à la foule :
« J’offre 500 dollars à ceux qui déguerpissent dans les 10 secondes. Sinon je lâche mes molosses. »

Les cris cessèrent et rapidement la foule se dispersa. Se tournant vers le sergent, elle lui servit un sourire sarcastique et sadique.
« Je vous en prie sergent, entrez. »

Une fois qu’il fut rentrer dans le salon, Joan claqua la porte d’entrée et se tourna vers mère qui râlait.
« Un café pour le flic m’man !
-Qu’il aille se faire foutre !
-Tu lui fais un café et tu ne discutes pas vieille peau ! »

Le liquide noir arriva trente secondes plus tard sous l’œil noir de la maman Wayne.
«Bien sergent, avant tout chose. Je n’étais pas là quand ce sagouin est venu faire son affaire. J’étais en train de bosser et si vous ne me croyez pas voici la liste de tous mes clients et associés qui m’ont vu hier soir. »

Allez le flic, démerde-toi avec ça.
« Et vous serez adorable si vous me rendiez ma culotte. »

La mère de Joan était loin d’être sourde.
« QUOI ?! VOUS AVEZ UNE CULOTTE DE MA FILLE ?! SALE PERVERS ! »

Joan regarda sa mère s’armer d’un balais sans bouger d’un iota.


   
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MessageSujet: Re: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyMer 31 Déc - 17:43

Jack Leahy fut estomaqué. La première fois qu’il avait vu Joan Wayne, il faisait nuit noire, il n’avait pas eut le temps de s’attarder sur ses traits, surtout que ça avait été bref. Mais là… La gamine s’était ramené devant lui en débardeur et pantalon moulant. Grrr ! Grrr ! Grrr ! Elle dégoulinait par tous les pores d’une sensualité saine. Elle n’avait rien d’une obscure connasse d’une sous-caste du show-biz. Et sa crinière étincelante ne devait rien à aucune saloperie de teinture. Si le tabloïd à scandale de la ville, le Lagon Confidential avait pu décrire l’apparition, l’article aurait eut pour titre : CHAUDE ! CHAUDE ! CHAUDE LA VILLE ! Quelques mâles parmi les badauds autours de la maison ouvrirent grand les yeux pour se coller les quinquets sur cette brune classe. Une fille donna une gifle d’anthologie dans la tronche de son copain en hurlant : ARRETE DE RELUQUER CETTE NANA ! Jack devait bien l’avouer, cette garce avait une expression de carnassier espiègle toute mignonne à écraser toute concurrence. Il s’attendait à un refus net et clair, mais elle l’invita à entrer. Il leva les yeux au ciel en écoutant les adorables échanges entre la mère et la fille. Il vint s’assoir dans le sofa à napperon et bu une gorgée de son café noir éventé tout en observant d’un œil méfiant l’image du dragon Smaug trônant au dessus du ventilateur. Leahy écouta à moitié ce que lui disait la garce. Il bomba le torse dans son fauteuil pour l’impressionner, sa veste s’entrouvrit, dévoilant son 38 à canon court, sa matraque et son coup de poing en laiton. Elle exigea de récupérer son bien. Jack recracha une gorgée de son café sous le coup de la surprise et débomba le torse aussitôt, son attirail de flic se replanqua derrière les pans de sa veste.

« Que ? Quoi ? Je…, en fait… comment ? Mais je n’ai pas votre… chose là. »

Trop tard, ruse éventée. Jack se leva alors que la mère en furie approchait pour lancer l’assaut. Il se prit un coup de balais dans la tronche qui le décoiffa. Il glissa à Joan :

« Venez au Grill d’Ollie Hammond ce midi, il est à 3 rue d’ici, je suis sûr que vous avez l’habitude de venir vous y goinfrez gamine. »

Nouveau coup de balais.

« On pourra parlez tranquille, vous êtes toujours suspecte. Votre maison en tout cas. »

Nouveau coup de balais, Leahy fut bousculé par la vieille.

« Et vous avez intérêt à y être sinon ça sera une citation à comparaître. »

Nouveau coup de balais, la vieille s’accrocha à lui. Jack décampa. Une fois dehors il déguerpit vers sa voiture. Une dinguerie de la pire espèce lui passa par la tête sans qu’il ne sache pourquoi: n’enfonce pas la môme, ne fabrique pas de fausses preuves pour la faire tomber. Trouve qui a fait ça pour de vrai. Emmerde Dan Wilhite et toute la brigade.

…………………………

Retour au poste, 10h du mat, l’heure du boulot de merde. Mais Leahy se sentait plus léger. Trouver des suspects. Voyons l’échantillon à travers les rapports de police. Qui aurait pu tuer cette femme et la larguer sur la pelouse de Wayne ? Voyons qui rôde en ville :

Charles Issler, confesseur. Un faible pour les meurtres de femmes qui faisaient 5 colonnes à la une du journal. « Frappez-moi ! Frappez-moi ! ». Connu pour mordre les flics qui refusaient de l’obliger. Niet
Michael Johnson Krugman, confesseur : l’assassinat de Jésus-Christ, c’était lui qui avait fourni les clous. Vengeance, Jésus avait baisé sa femme. Non plus
Tourbillon, des tas de confesseurs. Donald Fitzhug adorait les meurtres de lesbiennes. Quedale
Vérification des dossiers. Des cambrios massacreurs de femmes ? zéro. Voyons du côté des fous : tabasseurs d’épouses, adorateurs de femmes. Le tueur avait fait des trucs avec les sous-vêtements de Joan quand il avait cambriolé la maison. Cherchons du côté des mecs en manque : Renifleurs de soutifs et de culottes, rien, aucun branloteurs sur lingerie, un seul sniffeur pour l’instant : Jack Leahy en personne.

Coup de téléphone, la grande annonce de la part du coroner :

« Jack, on a identifié le cadavre, c’était une prostituée. Cindy Kafesjian, surnommé Cindy la pécheresse. »

Jack se rendit enfin compte pourquoi il était plus léger en revenant au poste. Il n’avait plus ni son flingue, ni son coup de poing en laiton, ni sa matraque. On lui avait même piqué son insigne de flic. LES GARCES !!! Maman Wayne lui avait fait les poches pendant la baston au balai, à moins que ce ne soit Joan Wayne qui lui ait nettoyé tout son attirail de flic.

…………………………

12 h, le grill d’Ollie Hammond à 3 blocs de la maison Wayne. Jack Leahy avait eut besoin de 4 passages en voiture au ralenti pour vérifier que Joan était bien là. Le grill était bondé, c’était l’heure du déjeuner et tous les boxes étaient occupés. Jack Leahy entra. Il aperçut Joan en plein milieu du resto, il s’amena à sa table. Il s’assit face à elle. Il y eut un moment de calme. Cela fit décroitre le brouhaha du restaurant. Les gens commençaient à les regarder. La salle était vraiment calme à présent. Les gens tournaient la tête dans leur direction. Ils connaissaient tous Joan Wayne dans le quartier, surtout sa réputation. Alors que venait foutre ce type en face d’elle ? C’était pas le flic qu’ils avaient vu ce matin entrer dans la baraque ? Jack toucha la tasse de café de Joan.

« On a identifié le cadavre, c’était une prostituée. »

Jack déblaya un endroit sur la table où poser ses mains en poussant l’assiette de Joan.

« J’ai un plan pour en savoir plus sur elle et découvrir qui était son mac, s’il lui faisait du mal. »

Jack se pencha vers Joan, il sentit cligner un million de paupières. Jack jeta un coup d’œil circulaire à la salle. Un petit garçon passa le torse par-dessus la paroi de son box et les fixa des yeux. Deux petites filles pointèrent leurs doigts vers eux.

« Je sui sûr que si le tueur a balancé le cadavre sur votre pelouse avant de cambrioler votre maison, c’est qu’il a une dent contre vous. Pourquoi ne pas m’accompagner ce soir ? Je suis sûr que vous m’aiderez. »

Jack ne tenait pas en place, il poussa la tasse de café de Joan et s’y chauffa les mains. Il referma ses doigts autour de la tasse de café, il toucha les doigts de Joan et sursauta.

« Par contre il faudra me rendre mes outils de travail, dîtes à votre mère de me rendre mon attirail sinon je vous fais une fouille au corps ici devant tout le monde. »

Les gens les regardaient. Un gros mastard noir et un grand échalas blanc les contemplaient carrément bouche bée. Jack regarda ses mains, elles tressaillirent et firent tourner la tasse. Un peu de café tomba sur ses mains. Il toucha les mains de Joan, il les enleva aussitôt.

« On a cas faire un échange. Mes outils contre ça. »

Leahy sortit la petite culotte et l’agita dans sa main. Il jeta un coup d’œil circulaire à la salle. Ce satané restaurant tout entier regardait dans leur direction.
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MessageSujet: Re: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyMer 31 Déc - 18:51

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Joan laissa sa mère chasser le flic qui lui donna rendez-vous dans un resto du coin. Elle l’écouta d’une oreille distraite ce qu’il disait sous les coups de balai de la vieille Wayne. Elle vit sa mère dérober en même temps l’attirail de l’homme. Dommage, Joan l’aurait bien fait elle-même. Parfois cette vieille peau pouvait servir. Une fois le sergent Leahy dehors, la brune se leva et essuya le café renversé par le flic. Et sans un remerciement, elle remonta dans sa chambre pour prendre une veste. En descendant, elle attrapa les affaires du flic. Elle sortit par l’arrière de la maison et se rendit au Siren’s club où l’attendait ses hommes et Michael.
« Tu m’as localisé ce salopard ?
-Yep, il se terre dans les sous-sols d’un vieux resto.
-Ok, continue le surveiller. J’ai pas le temps de faire une descente pour lui expliquer ma vision des choses. Le muet est là ?
-Yep au 1er. »

La brune monta au premier et trouva celui que tout le monde appeler le muet. Il ne parlait jamais mais faisait hurler ses victimes. Il posa ses yeux sur sa patronne.
« Prépare tes outils, tu vas bientôt pouvoir arracher quelques cris mon chou. »

Un large sourire s’installa sur les lèvres de l’homme de main de la belle. Elle redescendit dans son bureau et commença à faire les comptes du club. La partie légale de son affaire. Le Siren’s club était blanc comme neige mais le repère qu’il était beaucoup moins. Les flics étaient déjà venus, essayant de trouver un motif d’arrestation pour la dernière des Wayne, mais rien. Il n’avait pas réussi à mettre la main sur la moindre preuve, ni à arrêter un de ses hommes qui était tous employé chargé de la sécurité à divers stade. Une fois cela fait, elle prépara sa visite à son rival de toujours. Joan téléphona à un de ses contacts.
« Orion ? C’est Aisha. J’ai besoin d’une identité pour un flingue neuf.
-Je te fais ça entre midi et deux. Envoie Clovis chercher le colis.
-Bien, merci. »

Elle retourna dans le club où ses hommes disputaient une partie de poker. Soupirant elle appela Trevor et David. Deux costauds qui inspirait le respect. Elle les amènerait avec elle dans le resto. A midi moins cinq, la belle était assise à une table attendant que ce cher sergent montre le bout de son nez. Ses deux hommes étaient assis à des tables différentes, gardant un œil sur le patronne. Et finalement son nouvel ami du jour arriva et s’assit en face d’elle provoquant le calme dans le resto. Tout le monde se posait la question de ce qui allait se passer. Un flic contre Joan Wayne. Sa réputation n’était pas à refaire dans son quartier. Elle avait le monopole de celui-là et elle inspirait le respect et la crainte. Alors chacun se demandait si son règne allait se finir là ou pas.
« Quelle est son nom à cette putain qui a salit mon jardin ? »

Elle le regarda pousser son assiette pour poser ses mains. Joan trouvait que ce flic prenait beaucoup d’aise. Un plan ? La brune se retint de lui rire au nez.
« Je vous écoute sergent. Bien que je doute que vous allez beaucoup m’apprendre sur ce qu’il se passe dans mon quartier… »

Un bambin passa sa tête par-dessus le box tandis que Jack se penchait vers elle. D’un coup de main, elle fit tomber le gamin et fit de même avec les deux fillettes. Les petits curieux dehors ! Il s’expliqua et les yeux de Joan lancèrent des éclairs.
« Aider un flic ? Voyons sergent ? Tenez-vous vraiment à votre poste ? Votre brigade cher à me coffrer depuis pas mal de temps. Vous pensez vraiment que je vais vous aider dans votre misérable enquête ? Ou alors vous êtes tellement désemparé que vous vous demandez si je ne connais pas déjà le meurtrier ? Mais va pour ce soir car vous avez plus de courage que tous les flics de cette ville réunis. »

En vérité ce flic intriguait de plus en plus la brune. De par son courage et du fait qu’il ait toujours sa petite culotte dans sa poche ! Il poussa ma tasse de café et effleura mes doigts qui me firent pincés les lèvres. Personne ne me touchait sans mon autorisation. S’il continuait il allait prendre la première place des flics à abattre. Une fouille au corps…Intéressant. Vu que visiblement il avait commencé…Et comme pour la dissuader d’accepter, il brandit sa culotte dans tout le resto. Du coin de l’œil Joan vit ses hommes se tendirent. La belle éclata de rire, se leva et planta son regard bleu dans le gris de Leahy.
« Venez les chercher ! Je ne marche pas au chantage. Mais faites attention où vous posez vos mains sergent. J’ai les coups qui partent facile. Ce serait dommage d’abîmer un tel spécimen de la brigade criminelle. »

Elle ne se laissait pas ridiculiser sur son propre terrain. Cela ne se faisait pas et elle ne le permettait pas. Joan s’approcha de policier avec une démarche féline et dangereuse. Elle s’approcha suffisamment pour que le nez de Jack se retrouve qu’à quelques centimètres de sa poitrine. D’un geste vif attrapa le bout de tissu qu’il brandissait et se recula avec un sourire victorieux.
« Maintenant que j’ai récupéré ma propriété…venez chercher votre attirail de flic… »

Et elle tourna les talons pour sortir dehors sous le regard éberlué de tous les clients. Elle fit signe à Trevor de payer pour le repas. Elle posa ses fesses sur le capot de la voiture de Leahy et l’attendit, les sourcils relevé.


   
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MessageSujet: Re: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyJeu 1 Jan - 1:10

Elle lui avait repris sa lingerie fine. Leahy sentit un frisson dans son dos. Elle y était parvenue par un traquenard : exhiber sa poitrine. Provocatrice jusqu’au bout, elle était partit sur une réplique à jouer avec vos nerfs. Il resta planté sur sa chaise le visage interdit à réfléchir :

Joan Wayne :

Peut être furie et imprévisible, sans doutes, donnant très fort sur probablement. Peut être style et classe, probablement, donnant très fort sur oui. Elle a tourné en dérision cette femme morte, elle t’a nargué, elle n’aime pas les flics. Mais elle a accepté ton idée, elle veut le coincer aussi. Elle ne semble pas s’être formalisé que tu lui ais piqué une de ses petites culottes. Chose rare pour une gosse de cet âge. Tu pourrais être son grand frère mais elle se fout complètement de ce que représente la capacité de nuisance des autorités que tu as derrière toi. La seule certitude c’est que tu es au 36ème dessous par rapport à elle mais qu’elle est capable de tout.

Leahy sortit et l’aperçut assise sur sa voiture (l’emmerdeuse). Leahy lui adressa un grand sourire, celui du requin. Il lança espiègle :

« Vous avez déjà vu la loi et l’ordre en train de frapper ceux qui aiment un peu trop les femmes ? Ça va vous plaire ma grande, mais en attendant virez votre anatomie de cette voiture, sinon je vous inculpe pour abus d’une propriété municipale. Même si je pense que la voiture a été trèèèèèès contente de toucher vos fesses.»

…………………………

Le croisement entre Western et Adams, à seulement 1 rue de la maison des Wayne. Leahy avait organisé son traquenard avec les flics de la brigade des mœurs. Des putes de sorties. Des agents en uniformes en train de cravater les clients et de confisquer leurs voitures. Jack se goinfrait d’un beignet au sucre devant le Cooper’s Donuts avant de tendre le paquet vers Joan. Les uniformes des mœurs étaient en train de relever les identités. Des hommes placés aux deux points de la rue pour choper les amateurs de fesses prêts à décamper. Les mecs accostent les putes, la main au collet, en flag, véhicule confisqué, direction panier à salade. Les questions-réponses des flics fusaient : T’es marié ? T’es en mise à l’épreuve ou conditionnelle ? Tu les aimes blanches ou colorées ? Signe ces aveux volontaires. Tu seras peut-être relâché une fois au poste.

Un type tenta de se tirer, un agent lui plomba ses pneus arrière. La grande épidémie de chialeries : NE LE DITES PAS A MA FEMME. Cliquetis des entraves aux chevilles. Les paniers à salade remuaient fort. Jack enclencha son mégaphone et cria :

« On en a 19, ça suffit ! On ferme ! »

…………………………

Le poste de la brigade des mœurs. Le troupeau entra dans la salle de revue. Jack fit un coup d’insigne au chef geôlier, celui-ci regarda Joan avec méfiance, Leahy tourna les paumes de ses mains vers le bas en signe d’apaisement. C’est bon, elle est avec moi. La porte qui s’ouvre. A droite, les quartiers des prostituées mâles, à gauche celui des poivrots. Les agents passaient le troupeau en revue pour noter les noms. Jack passa sa main dans sa poche s’en sans rendre compte pour toucher la petite culotte de Joan et réalisa qu’il ne l’avait plus. Un flic chuchota à Leahy :

« C’est bon sergent, ils ont tous signé une renonciation de poursuites pour arrestation arbitraire. »

Le troupeau avait été mit en ligne, cliquetis d’entraves et traînements de pieds. Jack attrapa le micro de l’interphone en faisant un clin d’œil à Joan.

« Bonsoir messieurs, écoutez soigneusement. »

Sursaut général, les haut-parleurs ont crachés fort et clair.

« Vous avez tous été arrêtés pour sollicitations à des fins de prostitutions, qui est une violation du code pénal de Floride punissable d’un an de prison. Messieurs, je peux vous rendre les choses très faciles, tout comme je peux faire de cette expérience la pire chose de votre existence. La manière dont je procéderais dépend entièrement de vous. »

Clignements de paupières, pieds qui trainent, chialeries.

« Messieurs, voici où les choses vont devenir très faciles ou très difficiles. Les services de police de New Lagon souhaitent vous épargner tout chagrin inutile, et franchement, vos petites cavales extraconjugales ne nous concernent pas à ce point là. Pour l’essentiel, vous vous trouvez ce soir en détention afin de nous apporter votre aide dans le cadre d’une enquête sur un meurtre. Une jeune femme connue pour vendre ses charmes sur South Western Avenue a été assassinée et j’ai besoin de prendre à part ceux d’entre vous qui se sont offert les charmes en question. »

Nouveaux sanglots.

« Messieurs, nous pouvons vous garder légalement en détention pendant 72h avant de vous présenter à l’audience du tribunal. Vous avez le droit à un coup de téléphone chacun, et décideriez-vous d’appeler vos épouses, vous pourriez peut-être les informer que vous êtes actuellement en détention sur inculpation 118 tiret zéro, sollicitation à des fins de prostitutions. Je comprends très bien que vous soyez réticents à le faire, aussi écoutez avec attention, je ne vous le dirais qu’une fois. »

Brouhaha, les agents qui sortent les images de Cindy la pécheresse prisent à la morgue.

« Les agents vont vous montrer les photos de la jeune femme. Si vous vous êtes offert ses charmes, avancez de 2 pas. Si vous l’avez vu arpenter le trottoir sans s’acheter ses services, levez la main droite. Messieurs, des confirmations fondées vous garantiront à tous votre libération sous quelques heures, sans chef d’inculpation à votre encontre. Si aucun d’entre vous n’admet avoir acheté les services de cette femme, alors je me verrais dans l’obligation de conclure que, soit vous mentez, soit simplement qu’aucun d’entre vous ne l’a jamais vu ou n’a jamais passé affaire avec elle. Ce qui signifie, dans un cas comme dans l’autre, que vous serez tous incarcérés, détenus en garde à vue pendant 72h et présentés devant le tribunal sur l’inculpation de sollicitations à des fins de prostitutions. Pendant ce laps de temps, les quartiers où vous serez détenus seront ceux que nous réservons habituellement aux prostitués homosexuels, où ils viendront vous saluer de la pine à votre arrivée. Messieurs, si un ou plusieurs d’entre vous admettent avoir couché avec la jeune femme, et si votre déclaration me convainc que vous dîtes la vérité, vous ne serez en aucun cas inculpé. Vos activités criminelles seront tenues secrètes avec la plus grande discrétion. Vous serez tous relâchés et autorisés à récupérer vos voitures. Elles sont sous bonnes garde dans un parc de stationnement tout proche. En récompense de votre coopération, il ne vous sera pas demandé de régler les frais de fourrières habituels. »

Un des prisonniers fit un pas en avant. Leahy demanda discrètement à un des agents :

« Fous le dans la salle d’interrogatoire n°5, et fous les autres du troupeau en cellule, empêche les de passer un coup de téléphone, un avocat un peu malin serait capable de les faire sortir en moins d’une heure. »

Jack se la joua galant, il fit une courbette pour inviter Joan à le suivre dans la salle d’interrogatoire. Jack demanda au détenu :

« Comment tu t’appelles mon gros ? »

« Ces dames m’appellent Monsieur Grosse Bite. Ecoutez, ma femme et mes gosses ont quitté la ville en bateau depuis l’explosion. Ce qui fait que j’aurais pu tirer mes 72h jusqu’au bout, mais je me suis dis : pourquoi mettre les autres mecs dans la mouise ? Ecoutez, je l’ai baisé, disons les choses comme elles sont. »

Jack lui glissa des cigarettes.

« Toi tu me plais bien. Alors combien de fois es-tu allé avec cette fille ?»

« Une fois. »

« Pourquoi rien qu’une fois ? »

« Une fois ça fait saut dans l’inconnu, plus d’une et autant faire son affaire à bobonne vu toutes les surprises qu’on se récupère avec les putes. »

« T’es quelqu’un d’intelligent. T’as pas remarqué si cette fille avait peur, ou était poursuivie par quelqu’un ou avait reçu des menaces ou un truc du genre ? »

« Euh… non, je l’ai sauté qu’une fois. »

Jack se recula déçu, finalement son stratagème ne lui avait rien apprit de plus comme il l’avait pensé. Dan Wilhite, le chef de la criminelle frappa à la vitre de la salle d’interrogatoire. Il avait l’air furieux. Il passa en mode frissons de haine en apercevant Joan Wayne. Jack ouvrit la porte.

« Mais qu’est-ce que tu fous avec elle !? Pourquoi tu l’as fait rentrer dans ce poste ? Tu veux qu’elle fasse évader quelqu’un ?! Je t’avais dis de… »

« Oui oui je sais, que la force parle, tout ça. »

Jack agrippa doucement l’épaule de Joan et lui souffla à l’oreille :

« C’est raté pour aujourd’hui, tirons nous d’ici, on trouvera autre chose. »
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MessageSujet: Re: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyJeu 1 Jan - 12:40

Lingerie Fine × ft. Jack
Sa proposition intriguait fortement la brunette. Mais ce qu’il ignorait c’était qu’il donnait des informations la criminelle sur la façon de faire des flics. Ce serait des coups en plus sur sa partie d’échec qu’était sa vie. Des voies qui s’ouvraient lui permettant de s’en sortir encore un peu plus. Alors avec une démarche féline, elle saute de la voiture, sortant de sa ceinture l’attirail de Leahy et lui plaque contre le torse.
« Alors allons-y ! Voyons voir comme les flics font pour coffrer un meurtrier. Je suis curieuse de voir jusqu’où va l’incompétence des flics. »

Lui servant un merveilleux sourire innocent, Joan se glisse dans sa voiture. Les deux costauds qui l’accompagnaient commencèrent à s’agiter et s’approchèrent mais la criminelle leur lança.
« Allez club vous deux ! Il est encore dégueulasse, et j’aimerai qu’il soit clean pour ce soir ! Allez au boulot et que ça saute ! »

Les deux lui lancèrent un regard noir et Joan leur répondit avec un joli sourire sadique. Le sergent les amena sur le lieu où toutes les catins du quartier se trouvaient. Là, la gangster assista à la caputre de coureur de jupon. C’était d’un ennui mortel. Le sergent se faisait un paquet de donuts et la Wayne s’ennuyait ferme. Il finit par lui proposer le machin gras et sucré.
« Non mais vous voulez m’engraisser sergent ? C’est pour que je cours moins vite si vous devez m’attraper ? Je tiens à mon physique et ma forme. Franchement vous pensez vraiment que je pourrais inspirer le respect dans mon quartier si je ressemble à une baleine ?! Gardez vos beignets et mettez-moi un peu d’action dans ce bordel ! Je me fais chier ! »

La franchise de Joan se fichait de son interlocuteur. Mais à vrai dire Jack n’était pas comme les autres flics. Il n’avait pas fui devant elle contrairement à beaucoup d’autres. Les policiers avaient peur d’elle. Peut-être une des raisons pour laquelle, elle n’était toujours pas en prison. Leahy pouvait être du coup dangereux pour la belle. Il n’avait pas peur alors elle devait se le mettre dans la poche avant qu’il ne la coffre. Corruption de flic ? La Wayne l’avait déjà fait.

La voix de Leahy la sortit de sa rêverie. Dix-neuf prit en flag. Joan pouvait parié dix milles dollars que Salim n’était pas dans les dix neufs. Ils se rendirent au poste de la brigade des mœurs. Un grand sourire s’installa sur les lèvres de Joan. Pour une fois qu’elle était ici en associé à un flic et non pour x ou y raison sans être suspecte. Elle jubilait. Les flics étaient soit terrorisé en la voyant soit se méfier. Le chef geôlier commença à flipper en voyant la sœur de James Wayne qui avait été amené ici. La brune lui offrit un sourire carnassier et Jack du rassurer son collègue. Elle se sentait puissante, intouchable.

Il fit un speech long, ennuyeux digne d’un bon flic. Cela arracha un soupire d’ennuie à Joan. Trop de méthode douce lui donnait envie de gerber. Mais un mec fit un pas en avant. La criminelle arqua un sourcil. Petite… Une poule mouillée. Leahy l’entraîna dans une salle d’interrogatoire. L’interrogatoire commença et dès la première réponse, la brune éclata de rire.
« J’aurai dit le contraire…Tu pues la peur… »

Mais il ne servait à rien. Il n’apprit rien au sergent de police. Quelqu’un tambourina la glace d’interrogatoire. Alors quand ils sortirent et qu’elle vu le chef de la brigade criminelle, un large sourire victorieux et carnassier s’installa sur ses lèvres.
« Chef Wihilite ! Quelle plaisir de vous revoir ! Vous savez que votre surveillance accrue devant ma maison, me manque. Vous vous êtes lassé de pas trouvé de preuve contre moi ? Ou alors je vous fais trop peur…ca doit être ça. J’ai bien vu les regards de vos sous fifres. Tout le monde tremble. Sauf votre sergent. C’est pour ça que vous me le coller dans les pattes…Un conseil…ce n’est pas comme ça que vous arriverez à m’attraper…Mais bon, c’est vous qui voyez ! »

Jack l’attrapa par les épaules et la fit sortir. Non, non , non ! Elle commençait à s’amuser comme une petite folle ! Pourquoi arrêter maintenant ? Pff pas drôle le sergent.
« Alors non ! on arrête là ! Cela va bientôt faire vingt-quatre heures que cette putain c’est fait buter et jeter sur ma pelouse ! Et résultat des courses…vous n’avez rien ! Pas de témoin, pas de preuve ! Et moi en une nuit j’ai eu un nom. Je sais qui a fait ça. Vous êtes trop dans la loi Sergent ! La loi est lente. En revanche…les hors la loi…ils sont rapides, efficace et n’ont pas peur. Alors ce que je vous propose, c’est qu’on fasse ça selon ma méthode ! Et comme je vous aime bien parce que vous êtes le flic le plus courageux de votre foutu brigade, je vous le laisserai. Je comptais le tuer…mais je peux pas faire ça devant un flic… »

Dix minutes plus tard, la criminelle et la flic arrivèrent devant un vieux resto délabré. Joan sortit son flingue et entra, silencieux. Elle mena Jack jusqu’à Salim qui était terré dans les sous sols. Quand il vit arrivée sa rival, il pointa son arme sur elle mais rapide, la belle appuya sur la détente et sa balle lui transperça la main. Il lâcha son arme en poussant un cri de douleur.
« Bien le bonjour Salim ! Cela faisait un bail ! Et tu vois, je suis tellement pas rancunière pour toutes les merdes que tu m’as fait, que j’ai amené un flic avec moi…Sergent Leahy, Salim Jones ! Votre assassin de catin ! »



   
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MessageSujet: Re: Lingerie fine (Joan Wayne)   Lingerie fine (Joan Wayne) EmptyJeu 1 Jan - 15:05

Une fois sortit de la salle d’interrogatoire, Jack manqua d’avoir une crise cardiaque. La garce venait de lancer une tirade provocante envers le patron de la brigade criminelle. Il se rendit compte qu’avec ses conneries, elle pouvait le faire virer. Il voulut tout à coup disparaitre de cette ville pour se retrouver sur la planète mars. Il se dépêcha de décamper avec elle avant que ça n’aille plus loin. Joan toujours provocatrice le relança dans ses invectives moqueuses, lui proposant même de lui livrer un coupable. Au bout du couloir, lorsque Leahy se retourna une dernière fois, il aperçut Dan Wilhite en train de s’acharner sur la vitre de la salle d’interrogatoire, empoignant une chaise de bureau et frappant dessus en hurlant contre la famille Wayne.

Leahy accepta de suivre la chieuse de service jusqu’à son suspect. Il n’était plus à ça près et il se demandait bien comment elle avait réussit de son côté à se dégoter un coupable. Voilà le Owens, un restaurant pour routier à l’abandon qui se trouvait juste en dessous d’un rade de location de smokings. Le flic suivit la fille Wayne en se demandant à quoi devait ressembler ses frères vu le caractère de joan. Elle les mena dans les sous-sols jusqu’à leur homme. Elle lui tira dessus, Jack surprit par la scène dégaina son petit 38 à canon court réglementaire de flic et mit en joue Joan. A bout de patience il observa l’abruti en train de se tordre de douleur au sol.

« Mais enfin c’est qui lui ? Et puis qu’est-ce qui te fait dire que c’est lui que nous recherchons ? Espèce de gosse inconsciente, ça t’arrive de… »

Coups d’œil à l’endroit, pas grand-chose, des bons de réductions sur les meubles. Des armes de tirs sur des étagères à livres. Un trousseau à clé pendu à un crochet, de l’outillage électrique, des numéros de playboy, le placard verrouillé. Et si le trousseau à clé suspendu ?

« Je… »

Il rafla le trousseau, la porte céda, il trouva une caisse, il se pencha et fit l’inventaire. Des balles de squash, du ruban adhésif, des gants remplis de grenaille. Un appareil photo numérique, plus de 6 chargeurs. 14 clichés imprimés.

« Je… »

Des putes bâillonnées et rouées de coups, 8 victimes certifiées. Et aussi un chargeur de film supplémentaire, 12 nouveaux clichés. Jack balança la caisse contre un mur pour la vider en une seule fois. Il étala la camelote. Voilà les photos des femmes avec des balles de squash dans la bouche et des baillons sur les lèvres. Voilà les contusions et les dents brisés. Jack passa de rouge à noir, à noir tout noir, à noir dépassé en un instant, son pouls grimpa à 180 au bas mot. Il pointa son arme sur Salim. Oh et puis merde. Il lui colla une balle dans la tête. Il fixa Joan, il lâcha :

« Je veux même pas savoir d’où tu le connais petite, maintenant tu rentres chez toi et tu restes à distance des tarés. Et rends moi service, reste aussi à distance des flics, j’ai pas envie qu’on me donne l’ordre de te prendre en filature jour et nuit, j’ai autre chose à faire ! »

Jack quitta le sous-sol furieux. Dehors il regagna sa voiture et une nouvelle dinguerie lui passa par la tête lorsque ses mains touchèrent le volant : elle a su retrouver un tueur de femmes, elle pourrait en retrouver d’autres pour toi.
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